Fanfiction Diablo II

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Le retour du démon

Par Barnaky_jr

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3 A

L'air était humide, l'ambiance glauque. La crypte n'avait pas été ouverte depuis des siècles. Des ossements humains jonchaient le sol en tas grotesques. Des pieux taillés maintenaient des cages thoracique aux murs des couloirs. Deux ombres s'avançaient à la lumière d'une boule luminescente verte. Le premier était de taille respectable, il portait une cotte de mailles qui couvrait la totalité de son corps. Des deux hommes, il devait être un guerrier expérimenté car il portait son épée de façon à que tout danger qui vienne de face soit paré. L'autre homme portait une longue robe rouge orangée. Il se servait d'un long bâton surmonté d'un joyau bleu qui brillait d'une lueur éclatante qui complétée la lumière de la boule invoquée. C'était un Vizjerei. Ils avançaient prudemment dans les couloirs sombres de la crypte. Les murs étaient écarlates de sang. Les dalles du sol semblaient avoir étaient peintes aussi avec une peinture écarlate.

- Nous ne sommes quand même pas dans la tombe Bartuc... Dit le guerrier.

- Non. Je n'est pas senti d'enchantements propres au Seigneur des Démons. Par contre je trouve bizarre qu'il y est ressemblance avec cette fameuse crypte. Répondit le Vizjerei.

- Ouais je me rappelle de cette petite histoire comme quoi l'armure de Bartuc aurait été libérée puis remise à sa place.

- Oui. J'en est entendu parler. La ville de Lut Golhein souffrit à cause d'elle.

Les couloirs se succédaient lorsque les deux hommes rentrèrent dans une grande salle éclairée de torches. Il y avait des runes inscrites sur les murs.

- Erzin ? Il y a...

Le Vizjerei pointa le joyau de son bâton vers le centre de la salle. Une forte lumière bleu éclaira la totalité de la salle.

- Aucun danger. La zone est vide de pièges magiques et mécaniques, assura le mage.

Erzin et le guerrier pénétrèrent dans ce qui devait être la salle centrale. Ils évoluèrent prudemment jusqu'à un promontoire. Une légère lumière rouge émanait d'un autel au somment du promontoire haut de deux marches. Le Vizjerei alla directement voir les runes gravées sur les murs de la salle pendant que le guerrier se dirigea vers l'autel. Il fut soudain prit d'une envie pressante de prendre ce qui était un rubis en forme de goutte de sang. Il fallait au moins les deux mains pour prendre ce joyau. A ce même moment, Erzin, étudiait les runes.

- Non non non c'est impossible... Il avait été détruit dans son antre même... J'espère que...

NON ! FRANZ ! ARRETE !

Le guerrier s'avançait avec un visage d'envie très forte et avait un sourire inhabituel chez lui. Puis la chose à ne pas faire fut faite. Franz prit le rubis et ce dernier se mit à briller d'une intense lueur.

Le Vizjerei voulu prononcer une formule, qu'un éclair rouge le foudroya. Le corps sans vie d'Erzin s'écroula à terre avec un énorme trou à la place de la poitrine. Avec la chaleur de l'éclair, la plaie fut littéralement cautérisée. Puis, un autre éclair foudroya Franz mais pour lui, il fut soulever du sol dans une aura rouge sang. Quelques instants après il explosa. Des tripes, des os et des muscles s'écrasèrent mollement sur les murs de la crypte. L'aura subsistait, prenait consistance, forme et un rugissement inhumain résonna dans toute la tombe. Il était revenu et allait se venger des mortels qui le renvoyèrent dans les abysses. Il serait leur cauchemar...
L'énergie libérée lors de la résurrection de Diablo s'étendit à une vitesse effroyable. Elle parcourut les mille cinq cents kilomètres qui séparaient la crypte à la capitale de Westmarch en douze secondes. Sur son chemin, toute personne ayant des aptitudes magiques de quelque nature que ce soit, fut informée du retour du Seigneur de la Terreur en ressentant la vague d'énergie démoniaque lorsqu'elle traversait les corps. Certains même mourut par leur faiblesse face à la force chaotique. Il ne fallut pas longtemps pour que la nouvelle parvienne à la cathédrale de Zakarum à Westmarch. Tous les prêtres, et même le Grand Evêque de la cathédrale sentit quelque chose qui n'allait pas. Peut après leurs surprises, tous reconnurent la marque de Diablo en cette énergie. Il fallait avertir le Roi que La Terreur était de nouveau sur Terre. Le Grand Evêque dicta aussitôt une lettre expresse au Roi pour lui informer de la gravité de l'affaire en jeu. Ceci fait, le coursier prit ses jambes à son cou, sortit du lieu saint et chevaucha à toute vitesse dans les rues encombrées de la capitale. A ce moment là, personne ne devinait que Diablo revenait répandre dévastation et chaos sur Sanctuary à par les personnes capables de magies. Arrivé au château, le coursier enjamba quatre à quatre les marches des escaliers menant à l'entrée.

- Halte là ! Que venez vous faire ici ? Demanda l'un des gardes du palais.

- J'ai un courrier spécial pour le Roi venant directement du Grand Evêque !

- Très bien allez-y.

Le coursier traversa le grand hall tout en courant. Il dépassa une grande porte qui donnait sur un long et grand couloir qui menait directement à la salle du trône. Heureusement pour lui, il avait subit un entraînement spécial pour coursier afin d'obtenir une bonne condition physique.

Par chance, la salle du trône était ouverte. Les gardes ayant reconnu un coursier du Grand Evêque le laissèrent passer sans broncher. Il devait y avoir une réunion d'Etat. Le Roi était très occupé à parler. Le coursier passa la porte et s'agenouilla à trois mètres du Roi. Il demanda :

- Qu'il y a-t-il ?

- Un courrier important pour Sa Majesté de la par du Grand Evêque !

Pendant ce temps là les instances qui régissaient les finances du royaume observaient la scène en silence.

- Veuillez lire. Ordonna le Roi.

Le coursier s'exécuta. Et lu à haute voix :

« Message du Grand Evêque de la cathédrale de Zakarum au Roi du royaume de Westmarch. Seigneur. Il y a quelques instants, nous avons détecté une vague d'énergie provenant de La Terreur elle-même. - Le coursier eu du mal à prononcer le nom de Diablo quand il reprit- Nous étions tous soulagés de sa destruction et de son revoit aux Abysses Infernales mais ce temps est révolu. Par aucun moyen que nous connaissions, Diablo a réussi à revenir sur Sanctuary. - Au moment de la prononciation du nom, un murmure de terreur emplit la foule attentive aux paroles du messager. Ce dernier prenait plus d'appréhension car il avait été présent lors de la dictée du message- Nos présages ne sont pas du tout bons. Les tarots, la lecture des astres de la nuit dernière nous avez indiqué un danger qui maintenant c'est réalisé. Il faut absolument renforcer nos défenses aux points stratégiques. Il serait bon d'envoyer des patrouilles surveiller les zones touchées par le chaos lors de la dernière invasion démoniaque. Charles. Il faut absolument prendre cet avertissement au sérieux. Renforçons-nous ! Profitons de ce moment pour enquêter sur tout Sanctuary !

Le Grand Evêque »


Quand ce fut fini, des bavardages, des commentaires, néanmoins silencieux sortirent de la foule. Le coursier restait devant le Roi quand celui-ci lui dit :

- Va dire à ton maître que j'analyse la question !

Sur ces mots, l'homme prit le chemin en sens inverse toujours en courant. Quand il traversa la porte, on ordonna de les fermées pour plus de discrétion.

Puis, le Roi se tourna vers ses ministres et autres personnes importantes.

- Des réflexions par rapport à ça ?

- Si ce retour fini comme celui de Kabraxis, cela vaut ne pas du tout une meilleure approche ! Lança une voix.

Une autre répondit : « Il s'agit de plus sérieux que Kabraxis ! Diablo peut être plus puissant maintenant ! Son retour doit être prit grandement au sérieux ! »

- Et tu crois qu'il va réellement nous menacer ? Nous n'avons qu'à rappeler les guerriers qu'ils l'ont pourfendu ! Fit une autre voix.

Puis un brouhaha de protestations, de commentaires, de menaces et autres apparut.

- SILENCE ! SILENCE ! OU JE FAIS EVACUER LA SALLE ! Fit le Roi maintenant debout avec son épée sortie. Pouvons nous discuter de cette affaire dans le calme ? Qu'avez-vous à crier comme des animaux ? De toutes façons, j'accorde plus d'importance au retour de Diablo que de Kabraxis. Il se rassit et rangea son épée.

- Mais Seigneur...

- Rien ! Ne parlez plus ! Vous me fatiguez avec vos histoires. Armfield !

- Oui ? Répondit un homme à la carrure imposante portant une armure d'argent et d'or.

- Va rependre la nouvelle du retour de La Terreur. Prend tes meilleurs soldats pour cette quête.

- Bien Seigneur. Sur ses mots, le soldat prit la direction de la sortie.

- Nardam. Quant à toi, occupe-toi de renforcer toutes les citées et forteresses du royaume. Elles en auront besoin.

- A vos ordres Seigneur.

- Bien. Reprit le Roi. Demain réunion de crise. Je veux tous mes généraux dans mon bureau !

Dans la crypte, une lumière rouge sang s'était installée sans qu'aucune source ne soit visible. Dans la salle centrale, Diablo s'affairait à invoquer un portail menant en enfer. Il n'était plus tout à fait pareil. Comme si sa défaite l'avait endurcit ! Au lieu du jaune sur sa poitrine un rouge écarlate avait prit place. Aussi le reste de son corps était devenu noir. Ses yeux brillaient d'une aura rouge. Des cornes avaient poussé et certaines, comme celles de sa tête s'étaient allongées. Sa taille avait évoluée aussi. Elle avait doublé passant d'une taille de trois grands hommes à six grands hommes. Déjà un atout important pour assurer suprématie sur le monde. Ses pouvoirs avaient changé mais étaient mille fois plus puissants. Il était capable maintenant d'invoquer une armée entière de morts-vivants, de faire apparaître un portail pour les enfers ou un autre endroit du monde rien qu'avec sa volonté. Puis, le portail déjà invoquer, vomi des centaines. Non des millier de démons eux aussi plus forts et plus résistants. Les premiers arrivant, saluèrent Le Seigneur de La Terreur. Diablo leur donna qu'un ordre simple.

- Dévastez le monde. Dit-il dans une voix inhumaine et caverneuse.

Instantanément, les démons se mirent à courir vers la sortie armes au point. L'exaltation qu'ils attendaient depuis longtemps allait s' accomplir. Un flot ininterrompu de bêtes chaotiques sortait du portail. Le monde allait connaître un nouvel âge de destructions.

Les premiers signes de l'invasion apparurent rapidement. Le ciel s'assombrit, les cultures et les élevages d'animaux commençaient déjà à dépérir. L'eau devint de moins en moins potable. Des maladies incurables s'installaient dans les villages et villes reculées. On parlait de nouveau des Démons Originels qui allaient conquérir le monde, détruire toute trace de civilisation. Déjà des hommes au service du chaos répandaient leurs messages hérétiques pour l'Eglise de Zakarum. Cette nouvelle arrivée aux oreilles du Grand Evêque fut comme la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Il fit appel aux Soldats de la Lumière. Ces hommes saints, guides de la Lumière, protecteurs de l'Humanité pour éradiquer ce nouveau mal. Une semaine après leurs interventions dans les différentes villes, plus aucun hérétique ne sévit en ville. Tous furent crucifier sur une colline à l'extérieure des enceintes des villes. Les Religieux pensaient avoir donner un coup dur à Diablo mais pour lui ce n'était rien. Pour lui, la plus grande menace viendra de la cathédrale de Zakarum elle-même.

Pendant deux ans, les armées démoniaques dévastées les villes et villages. Le Roi ordonna une mobilisation de toutes armées sous son contrôle pour détruire cette armée. Déjà le royaume de Lut Golhein était près à combattre auprès du Roi de Westmarch. Son armée avait réussi à repousser toute agression depuis toujours. Le jeune Prince du royaume en était fier. Partout sur Sanctuary et au-delà des Mers Jumelles les humains combattaient le chaos. Les Amazones réussir à bouter une armée composée de Balrog et de Chevaliers de l'Oubli mais au prit de pertes énormes. Mais grâce à leurs talents, elles purent résister à cet envahisseur. Cette nouvelle redonna courage aux hommes qui se battaient en tout point du mode de Sanctuary. Aussi, les Disciples de Rathma prêtaient mains forte aux armées de Westmarch en réveillant les soldats tombés au combat ce qui à certaines batailles donner un avantage considérable. Des batailles étaient gagnées tandis que d'autres étaient perdues. Le Mont Arreat ne fut pas épargné. Etant le lieu de destruction de son frère Baal, Diablo y mit une partie de son attention pour faire payer le peuple Barbare mais eux aussi résistaient. Une armée de Serviteurs de la Destruction assaillir Harrogath qui fini par être prise. Les dirigeants furent sacrifiés aux forces du chaos. P Pendant ce temps là, les armées Barbares dirigées par Qual-Khek se réfugièrent dans des lieux inaccessibles pour les démons. Se préparant aux futures attaques et embuscades les Barbares affûtèrent leurs talents et s'améliorèrent aux combats à l'épée, à la hache ou à la lance. Les prêtres prédisaient que la victoire serait à leur portée très de leur pays. Au Kehjistan, les Vizjerei défendaient Kurast et Travincal récemment reconstruite contre des Ames noirs, des Chevaliers de L'OUBLI et des Seigneurs Venin ainsi qu'une multitude d'autres démons moins importants.

Dans les armées de Diablo se trouvaient des démons jamais vus. Il pouvait tuer rien qu'avec une boule de feu préalablement invoquée dix hommes. Quel que soit son rang, sa nature. Contre cette nouvelle race de démon, l'église de Zakarum développa une nouvelle classe de stion à tomber. Le reste des archères Rogues s'enfuirent dans le Royaume de Westmarch qui commençait à faiblir. Et les armées chaotiques se rapprochaient de plus en plus de la capitale du royaume. Déjà les paysans, les citadins faisaient leurs sacs en vu d'un exode massif vers des terres plus clémentes. Au Kehjistan. Les Vizjerei furent forcer de laisser Kurast et Travincal une fois de plus aux démons. A peine reconstruite, elle allait être une fois de plus détruite. Les Amazones se replièrent sur leurs îles pour se préparer à la prochaine grande invasion. Voyant que tout allait de travers pour eux, le Roi décida de rassembler ce qui restait de son armée et de partir vers une terre inconnue découverte il y a quelques mois. Maintenant, chaque royaume se battait pour ça survie. Lut Golhein allait tomber et deux ans après, les démons marchaient sur Westmarch, Lut Golhein, Travincal et sur tous les autres royaumes. Les barbares, eux, n'envoyèrent aucune nouvelle. Personne ne su où ils furent passés.

Voyant que toute réussite était faite, Diablo appela ses Frères. Baal et Méphisto apparurent aux cotés de Diablo dans la cathédrale de Zakarum. Les derniers paladins se battaient avec vigueur mais beaucoup tombaient sous les coups des démons malgré les protections divines. Ils essayaient de protéger le Grand Evêque qui préféra rester ici plutôt que de partir en terre inconnue. La ville était déserte. A par les cadavres de centaines de soldats et de mages, la ville devenait une ville fantôme.

Après le dernier paladin tombé, Diablo ordonna aux démons d'arrêter leur avance en direction du religieux. Il prit enfin la parole.

- Pourquoi n'est-tu pas partis avec les autres vieux hommes ?

- Je suis un représentant de la Lumière ! Je dois garder sa présence ici jusqu'à la fin démon !

- Aaaaah c'est pour ça... continua Diablo. Et... les injonctions divines répondent à tes prières ? Il se tourna vers ses frères et tous les Trois se mirent à ricaner.

- Tu sais - reprit Baal - nous on adore entendre ce genre de chose car je ne suis vu qu'une seule fois un Archange en action. Et c'est celui qui a détruit la Pierre Monde. Ce qui en fait nous a permis de revenir ici et de vraiment finir notre boulot. En fait si tu veux mon avis, rejoins nous car tu es plus sur d'avoir ce que tu demande avec nous qu'avec eux.

- Ouiiii.Continua Méphisto. Tu devrais te rallier à nous. Tu as l'air puissant... tu ferais un bon sorcier démoniaque...

- Jamais je ferais parti de cette mascarade ! J'ai voué mais vie à la Lumière et je donnerais ma vie à la Lumière s'il le faut ! Couina l'évêque.

- Mmmh. Donner ta vie ? Ca peut ce faire. Lança Diablo.

Il s'approcha de l'homme, sortit une longue griffe de son avant-bras et d'un geste ultra-rapide, il trancha le religieux en deux au niveau de la taille. Il s'écroula à terre puis du sang et des tripes s'étalèrent sur les dalles de la cathédrale.

Diablo se retourna et prit le chemin des Enfers avec ses Frères et les démons avec lui. La dernière présence de l'église de Zakarum venait de périr des mains de Diablo lui-même. Maintenant, les terres de Sanctuary appartenaient aux Enfers. Le chaos la plus totale se répandrait dans les contrées les plus reculées. Les terres autrefois riches et nourricières deviendraient des déserts de cendres. Les lacs, les rivières, serait remplis de sang. Les montagnes, transformées en volcans cracheraient des tonnes de lave indéfiniment.

Le chaos s'était définitivement installé sur Sanctuary. Les démons parcouraient les plaines désertiques à la recherche d'éventuels survivants. Aussi, la nuit tombait et ne laisserait plus la place au soleil sur cette terre maintenant abandonnée des Dieux eux-mêmes.

Sur Skovos et Philios, la défaite était assurée pour les Amazones. Elles mirent le cap sur l'île de Lycander pour défendre leur cité capitale, là où les dirigeantes Amazones gouvernaient. Les guerrières se mirent à ériger des défenses solides et efficaces. Lorsque les armées démoniaques arrivèrent en vue de la ville, les snipers embusqués, l'élite des Amazones, utilisaient des reproductions de l'arc mythique WindForce autrefois appartenant à l'Amazone ayant aidée à la destruction de Diablo. Depuis longtemps, l'arme ne fut plus retrouvée, peut être enfouie sous les décombres de la chambre de la Pierre-Monde. Pleins de magie et de force, les flèches elles-mêmes se dirigeaient vers les démons pour les touchés là où ça faisait le plus mal et le plus souvent était mortel. Les premières lignes de démon furent décimées en quelques instants. Puis, vint le tour des balistes elles aussi enchantées envoyèrent plusieurs volées de milliers de flèches aussi grande qu'un homme adulte. A l'impact, une explosion titanesque crée un trou immense dans le sol. Les soldats chaotiques ou plutôt les cadavres s'envolaient à des dizaines de mètres du sol avant de retomber lourdement sur les autres encore en vie. Enfin la charge fut lancée. Les milliers de démons assaillirent les murs de la ville grâce à leurs catapultes expédiant maintes boules de feu, d'électricité ou de poison à l'intérieure de l'enceinte de la ville. Des centaines de combattants tombaient avant même d'avoir fendu la chair des envahisseurs. Soudain des sorts de téléportation apparurent sur les murs de ville quand des sorciers Vizjerei et des sorcières jaillirent des portails invoqués et commencèrent instantanément la défense des orbes de glace fusèrent déchiquetant les démons pendant que des fissures engloutissaient des hordes entières mais les catapultes finirent par avoir raison des murs de la ville. Lorsque la brèche fut crée, les démons se précipitèrent par le trou béant. Et ce fut le massacre total. Les démons les plus robustes entrèrent en premier dans la ville pour massacrer le plus de monde possible. La bataille dans la ville continua bien après la tombée de la nuit.

Quartiers Est de la ville, environ trois heures après le couché du soleil.

- Va chercher des carreaux d'arbalètes ! Il m'en reste plus beaucoup ! Dit une archère en plein combat contre des Hommes Arbres maléfiques.

- D'accord ! Répondit une autre Amazone en armure de mailles. La guerrière se précipita vers les carquois de réserve et en ramena deux tout en courant.

Les défenseurs de la cité essayaient de repousser les démons des habitations pour laisser le temps aux civils de déguerpir et de prendre la mer vers cette terre inconnue.

Les restes d'une armée de Westmarch prêtaient main forte aux Amazones. Pendant qu'elles criblaient les êtres démoniaques de carreaux et de flèches avec une précision effroyable, les soldats tranchaient jambes et bras puis décapitaient les corps pour être sûr qu'ils ne se relèveraient pas.

- Capitaine ! Capitaine ! Un soldat de Westmarch s'approcha en courant de l'homme qui avait prit le contrôle des hommes lors de la mort du commandant.

- Oui qui y a-t-il ?

- Les démons ont enfoncé les défenses Nord ! Nous n'avons plus assez d'hommes pour les repoussés ! Ils arrivent vers nous !

En effet. La horde traversait les barricades en pourfendant les derniers résistants. Les autres avaient eu la bonne idée de reculer pour protéger le port où des tas de civils avec leurs paquets étaient massés sur les quais en attendant que leur tour vienne pour monter sur les grands vaisseaux de la flotte de Westmarch envoyée en renfort. Des vaisseaux surarmés, avaient aligné leurs canons sur la ville au cas où le signal de bombardement serait lancé. Ce qui fut le cas.

Les soldats et amazones avaient reçu l'ordre d'abandonner leur poste pour ce diriger vers le port. Soudain, des bruits sourds mais distincts arrivèrent aux oreilles des défendeurs. Les bateaux commencèrent à bombarder la ville à l'aveuglette mais qui était à certains moments, efficaces. Les boulets enchantés pour exploser à l'impact massacrèrent nombre de démons mais les plus audacieux arrivèrent à esquiver les projectiles mortels avec une habilité surprenante. Certains boulets arrachaient têtes, bras, jambes ou tentacules avant d'exploser dans un vacarme atroce.

Les personnes importantes furent escortées sur leurs navires respectifs en embarquant par la même occasion des civils. A la vue des dirigeants du peuple Amazone, rien ne valait plus que les civils de leur peuple. Au moment où le dernier civil avait atteint le pont du dernier navire à quai, les soldats et amazones se retournèrent avec un sentiment d'effroi. Des centaines de démons se précipitèrent vers les derniers soldats. Les ars et arbalètes se mirent en action. Les boucliers furent mit en place et le choc attendu survint. Les guerriers et guerrières furent tous éliminés en moins de temps qu'il ne faille pour le dire.

Les civils et matelots observant la scène de loin furent horrifiés par tant de haine et de violence. Les cadavres servirent de pâture aux démons les plus mineures. Les derniers boulets furent tirés en direction des docks. Quand le commandant de la flotte ordonna le « halte au feu », tous les canons se turent en même temps. Quelques démons pouvant léviter au-dessus des flots allaient rattraper certains navires qu'ils furent cueillit par les tirs des Vizjerei. Après la défaite de la Bataille de Lycander, le mode de Sanctuary était définitivement perdu.

Cela faisait deux mois que la flotte principale du Roi de Westmarch naviguait vers cette nouvelle terre que des explorateurs avaient découverte, il y a plusieurs mois de cela.

Le Roi observait le lointain accrocher au bastingage quand une voix surgit.

- Crois-tu que nous reverrons notre terre Charles ? Le Roi se retourna et vit son épouse à quelques pas de lui, le dévisagent comme si tout était perdu.

- Je ne sais pas. Dit-il en se retournant. Depuis que nous sommes partis, les nouvelles apportées ne furent que mauvaises. Aucune victoire ne parvenait. Au début, avec l'aide obtenue, je pensais que nous sortirions vainqueurs rapidement de cette nouvelle invasion. Je me trompais.

- Penses-tu qu'arrivés sur cette terre nous trouverions un peuple pacifique qui pourrait avoir un moyen de nous sortir de là ? Tout n'est pas perdu. Je le sens. Je me dis que cette guerre va finir sous de bons hospices et cette fameuse aide détruiront le mal définitivement.

- Tu l'as vu ? Lui demanda-t-il.

- Oui. Avec mes dons, je peux voir les choses de l'avenir.

- Ca je le sais. Mais pourquoi n'as-tu pas vu ce danger ? !

- Parce que je ne suis toujours au service du Roi de Westmarch ! Voilà pourquoi !

Là dessus, la Reine s'en alla vers sa cabine. Les matelots ayant vu la scène, se remirent aussitôt à leur occupation respective.

Le Roi se remit à observer la mer d'un air peu enjoué.

Environ deux heures après.

- TERRE ! TERRE !

Tous se mirent à courir vers le bastingage pour distinguer le moindre bout de terre. Tous furent excités à l'idée de remettre pied à terre.

L'Amiral en chef ordonna immédiatement le lancé de deux flèches enflammées pour avertir le reste de la flotte qu'ils approchaient de la terre promise.

Ceci fait, les équipages se préparèrent. Le Roi demanda aux mages Vizjerei qui les accompagnaient, de faire soufflait un vent fort mais juste ce qu'il fallait pour rejoindre cette nouvelle contrée le plus vite possible. Les sorciers invoquèrent un vent suffisamment puissant qui fit gonfler les voiles. Les navires reprirent vigueur et vitesse. En à peine une demi-heure les bateaux furent à cinq cent mètres de la plage. Le paysage était luxuriant. La mer d'un bleu turquoise. Un cadre de vie agréable. Si civilisation il y avait ici, valait mieux qu'elle soit pacifique car trop d'hommes et de femmes étaient tombés les derniers mois.

Sur les navires, tous s'affairaient à équiper les canots de vivres, d'eau et d'équipement de survie tel que cordes, couvertures, etc.

Puis les canots furent mis à la mer avec leurs occupants. Ils sortirent les rames et se dirigèrent vers la plage. Des Vizjerei, les plus importants, accompagnaient le Roi qui debout à la proue, bras croisés, regardait la plage se rapprochée de plus en plus. Lorsque le canot toucha terre, le Roi prit le drapeau de Westmarch et sauta de la barque pour ensuite le planté dans le sable. Charles avait mit sa plus belle armure d'apparat pour les grandes occasions avec sa cape pourpre qui voletait dans le vent, il se retourna, et voyant que tout les équipages des canots avaient mit pied à terre, il lança d'une voie sûr et pleine de vigueur.

-Une nouvelle ère débute ! Les forces démoniaques qui nous avait jetés hors de nos frontières n'ont pas réussi à nous détruire entièrement. Aujourd'hui. Grâce à l'union de tous les peuples de Sanctuary, nous avons réussi à survivre malgré les pertes énormes. Dans quelques années, après nous être renforçés en conjuguant nos connaissances nous seront en mesure de détruire le démon responsable de tout ce massacre.

Aujourd'hui, mes Frères, nous reprendrons notre liberté !

Une clameur et des applaudissements félicitèrent le Roi. Et quand le Roi disait quelque chose, il le faisait.
Deux semaines passèrent après l'accostage des ex-citoyens de Sanctuary. Les soldats avaient construit avec l'aide des civils une petite ville faite de chaumes dans la clairière aménagée auparavant. La forêt était riche de ressources et les habitants du village ne manquaient de rien. Même le Roi et sa famille mettaient la main à la patte. Les hommes participaient aux travaux de forces pendant que les femmes et les enfants préparaient la nourriture pour le midi et le soir car le soir venait le moment d'un banquet géant célébrant la survie du roi et de sa famille ainsi que des habitants du vieux continent. Le banquet servait aussi pour rappeler les milliers de victimes qu'elles soient civils ou soldats. Après, tout le monde alla se coucher et passa une très bonne nuit de sommeil. Le soleil se levait et éclairé les maisons quand...

- Sir ! Sir ! La patrouille de nuit se précipita vers la chaume du roi. Sir ! Sir !

Le roi réveillé dans son sommeil se redressa le visage complètement endormi lorsque les soldats arrivèrent à l'entrée.

- Qu... Quoi ? Que ce passe-t-il enfin ? Demanda le roi encore dans les vapes.

- Cela devrait vous intéresser sir ! Répondit un des soldats. Une ville énorme habitée se trouve à quelques kilomètres d'ici !

Cette réponse fini de réveiller Son Altesse. Il se leva en vitesse, s'habilla avec son armure d'apparat et tout son attirail de roi en hâte et rejoignit ses gardes et leur ordonna de l'amener vers cette soi-disante ville.

Pendant ce temps là sur Sanctuary, Diablo et ses frères s'affairaient à retrouver le reste des humains qui leurs avaient échappés. Les malheureux qui n'avaient pas été tués par l'invasion furent mit en esclavage. Des convois d'esclaves sur des longueurs interminables s'étendaient à perte de vue sur les routes poussiéreuses et noires, une reproduction parfaite de l'enfer sur Terre.

Un des convois, menés par des hommes-bêtes, des flagellants et des rogues corrompues, traversait une région autrefois connue sous le nom du désert d'Aranoch. Quand soudain, des centaines de barbares sortirent de nulle part pour attaquer les démons et libérer les captifs.

- A l'assaut ! Cria le guerrier de tête qui semblait être le chef de la horde.

Il s'en suivit un terrible combat où les démons finirent par tous être tués. Les esclaves, libérés, ils furent emmenés par les barbares.
Le chef leur expliqua qu'ils restèrent ici pour mener le combat et qu'ils n'allaient pas partir de si tôt de cet endroit car beaucoup d'humains avaient encore besoin d'aide. Ils traversèrent des kilomètres et finirent par atteindre une forêt où même les démons n'osaient entrer. Depuis quelques jours les guerriers établirent leur quartier général à cette endroit pour mener leurs stratégies à bien et dans le même temps protéger leur peuple ainsi que les peuples nouvellement libérés.

- Tu es de retour Borkan, dit un des gardes à la lisière de la forêt.

- Oui. Nous avons démantelé une caravane d'esclaves, répondit ce dernier. Tous les monstres sont retournés en enfer.

Borkan fit halte pendant que le reste de sa troupe continuait d'avancer vers le coeur de la forêt.

- Mais ... dit moi, pourquoi me demande tu ça ?

- Le Patriarche dit que nous serons trop nombreux si tu continues à augmenter la population déjà assez importante avec ces ... ex-esclaves.

- Comment ?! Il veut les laisser périre aux mains des ennemis ?! Il n'a pas le droit de faire ça !! Répondit énergiquement Borkan au garde.

- Et pourtant je crois qu'il va en expulser un bon tiers, expliqua-t-il.

Borkan tourna les talons et se rua vers la tente du Patriarche. Arrivé à celle-ci, il voulut entrer mais un barbare gardait l'entrée.

- Laisse-moi passer ! Rugit Borkan.

- De quel droit oses-tu pénétrer dans ce sanctuaire sans autorisation ? Demanda avec fermeté le garde.

- J'ai deux mots à dire au Patriarche. Et j'y arriverai par quelque moyen que ce soit !!

Soudain la voie grave en forte du Patriarche s'éleva.

- Quel est ce rafus ? Qui ose troubler ce silence ? Demanda-t-il.

- Seigneur, dit le garde, Borkan veut vous parler.

- Et bien qu'il entre ! Pourquoi attend-t-il ?

Borkan entra dans la tente comme un ouragan :

- Comment oses-tu réexpédier ces malheureux en enfer ?

Le Patriarche le regarda d'un air pas très intéresser par la chose.

- Dit moi, ... combien de temps vas-tu encore me pomper les oreilles avec tes histoires ? D'ailleurs la personne qui a dit ça est mal renseignée.

Je les envois dans un endroit plus sûr. Diablo et ses frères savent où nous sommes et ce n'est pas lui qui hésitera à entrer dans cette forêt. Alors maintenant sors de ma tente et disparais de ma vue. Merci.

Borkan, excédé par cette réponse, tourna les talons et sortit de la tente. Le soir commençait à tomber et sans nul doute, les monstres de la nuit ne tarderaient pas à sortir. Il se dirigea vers la lisière de la forêt pour respirer un peu d'air frais. Il scrutait l'horizon, sans savoir ce qu'il cherchait. Le camp de base des barbares se trouvait dans une région proche du désert. L'herbe était sèche mais avait l'air de survivre dans un tel environnement. Cette forêt était tellement difficile à trouver que seul ceux qui savaient où elle était pouvaient y accéder sans chercher des heures sur ces plaines. Le temps était souvent sec mais des pluies salvatrices rendaient le milieu plus vivable. Le soleil, tel un globe de sang, finissait de disparaître derrière la ligne d'horizon. Borkan profitait des derniers rayons de soleil quand un mouvement à l'horizon attira son regard. Il scruta une nouvelle fois le paysage devant lui en plissant les yeux pour mieux voir cette agitation. Voulant en savoir un peu plus, Borkan se mit en route vers ce qui l'intriguait. En chemin, il dégaina son épée de Balrog. Il raffermi sa prise avec ses deux mains en espérant ne pas avoir à l'utilisée. Il arriva près d'une dune. Il savait qu'ici, existait un vallon assez profond. Il gravit la colline et arriver au sommet, il ne put s'empêcher de lâcher une expression de terreur. Des centaines, peut être des milliers de monstres s'affairaient. Soudain l'une de ces horreurs aperçut le barbare. Elle n'attendit pas et proféra un cri grotesque qui mit en alerte le reste de cette troupe horrible.

"Non..." se dit Borkan.

Reprenant ses esprits, Borkan retourna vers la forêt. Il ne s'était pas aperçut de la distance qu'il avait parcourut de la lisière de la forêt au vallon. Il remit son épée dans le fourreau et se mit à courir le plus vite possible prévenir le Patriarche. Il se retourna et vit les monstres déjà sur ses talons. Il accéléra l'allure. Son épée battait son dos à chaque foulée. Il se disait qu'il n'y arriverait pas. Sa poitrine le brûlait. Ses muscles étaient en feu. Déjà la nuit s'installait définitivement et ses yeux avaient du mal à retrouver la forêt. Puis il aperçut les feux des gardes. Il se dirigea vers le premier gardes qu'il apercevait :

- Alerte ! Alerte ! Diablo est là ! Ils me poursuivent !

A peine cet avertissement entendu, les gardes se mirent en position.. Le Patriarche sortit au moment où Borkan, épuisé d'avoir courut comme un fou, s'arrêta devant son maître.

- Que ce passe-t-il Borkan ?

- Les... hordes de... Diablo... sont là. Il reprit son souffle. Il faut évacuer les civils vers le centre de la forêt.

- D'accord. Gardes, faites votre possible pour que les citoyens soient mis en lieu sûr.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Les gardes s'éparpillèrent dans les tréfonds de la masse d'arbre, hurlant les ordres nécessaires aux villageois, nobles ou hommes d'église.

Les prêtres de Zakarum élevèrent des barrières psychiques contre les démons et autres êtres malveillants. Le Patriarche et les guerriers se tenaient à l'entrée du campement.

- Borkan, fit le Patriarche. Es-tu sûr de ce que tu as vu ?

- Mais bien sûr Sir, répondit-il avec fermeté.

- Je n'en suis pas sûr, grommela le Patriarche. Vous deux ! Il désigna deux hommes solidement battis. Allez voir s'il y a de l'activité devant. Je veux en être sûr.

-Serait-ce prudent Seigneur ?

- Je vous ai donné un ordre soldats !

- Bien Sir. Là-dessus, les deux soldats prirent une torche et s'en allèrent dans le noir le plus total.

Une minute passa quand...

- Seigneur ! intervint un soldat. Regardez, ils reviennent, signala le soldat.

Hélas lorsque'ils arrivèrent dans les rayons lumineux des torches, les autres guerriers furent frappés d'horreur.

L'un des soldats avait le bras complètement déchiqueté. Son abdomen avait été à moitié éventré. Des organes pendaient derrière lui. Son visage, méconnaissable, fut brûlé et on pouvait apercevoir le blanc du crâne. L'autre eu plus de chance. Mais il perdit une jambe et ses bras avaient été complètement entortillés dans tous les sens. Lorsqu'ils arrivèrent aux pieds du Seigneur, ils s'écroulèrent et dirent :

- Maaaaître... Diabloooo... làààà. Arrivent... maintenaaaant... Les deux soldats rendirent leur souffle. On dégagea les cadavres dans les tentes des soigneurs.

- Là ! Vous êtes sûr maintenant ? Dit Borkan.

- Et tu es content ? On dirait que tu n'attendais que ça, répliqua le Patriarche.

Borkan ne répondit pas. Il le savait, s'ils étaient pris ou tués ou même pire, ils ne pourraient pas continuer leur quête de sauvetage des humains pris dans les griffes de Diablo. Il baissa les yeux tentant de réfléchir ce qu'il ferait s'il était le dernier survivant.

- Alerte ! L'ennemi arrive ! Hurla un soldat en faction.

Effectivement. Des milliers de torches s'allumèrent dans la nuit. Le tonnerre et la foudre déchirèrent le ciel. Le ciel voulut être clément en évitant les incendies causés par la bataille. De la pluie commença à tomber et elle devint constante au bout de trente secondes. Le héros choisi par Diablo était un monstre avec des cornes partout. Il hurla. La horde rendit son hurlement. Des éclairs zébraient le ciel d'un noir d'encre. Les archers se mirent en place.

Le chef de la horde hurla une deuxième fois. Puis, en un éclair toute l'armée chaotique s'élança vers les barbares. Les archers entrèrent en action. Des flèches pleuvaient par centaines mais le nombre de monstres tués était bien inférieure à la normale. Puis, les guerriers humains se lancèrent aussi à l'assaut. Le choc allait être inévitable et terrifiant...
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