Fanfiction Diablo II

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Les horrifiques aventures de la compagnie des Aigles-Furieux

Par Rouquemoute
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Chapitre 1 : Du danger des vautours en la traversée d'un désert

Moléon : Tu vois quelque chose Aigle-Pourri ?

Aigle-Pourri : Trois aventuriers, chef : un vaillant chevalier à l'armure étincelante, une mystérieuse femme aux cheveux noirs, et un barbare en slip avec un casque à cornes.

Phobos : Tirons-nous d'ici ! Vite !

Moléan : Pas question ! Je m'occupes de l'a sorcière, les autres sont à vous...
Hé ! Braves voyageurs !

Mélanus le paladin : Quittez ce rocher, engeances maléfiques, ou nous allons vous exterminer !

Phobos, à son frère : on est mort...

Aigle-Pourri, bas : écoutes...

Moléan : euh... Noble paladin... Nous sommes d'humbles voyageurs égarés...

Hadada l'ensorceleuse : planqués derrière un rocher ?

Moléan : bon, bon, l'attaque par surprise est fichue... Vous nous laissez partir ?

Bouc-de-Corn le bourrin : Ha-Ha ! Jamais !

Moléan : Personne ne me rit au nez le drôle ! Compris ?

Hadada : Il comprend très bien...

Bouc-de-Corne saisit Moléan et le plante sur ses cornes.

Hadada : Quant à vous deux mes gaillards, voila pour vous : euh... abracadabr...

Aigle-Pourri : Oh ! Mon corps brûle, je m'effondre !

Phobos : Ah ! Cet éclair me déchire et je défaille...

Hadada, pensive : je croyais qu'il s'agissait d'un sort de glace.

Mélanus : Dame Hadada, si vous m'aidiez à enlever cet homme planté sur les cornes de notre compagnon.

Hadada : Bon...Bon... Baisses toi Bouc ! Ah si seulement tu voulais bien enlever ce casque !

Pendant ce temps là.

Aigle-Pourri : Tu vois, quand une sorcière rate son sort, suffit de faire le mort.

Phobos : Ouais. Mais... j'ai mouillé mon armure. Rentrons, et tant pis pour Moléon, d'ailleurs Elzix ne l'aimait pas...

L'oasis lointaine. Une heure et demie. Un garde de Lut Golhein s'approche de nos héros.

Mélanus : Bienvenue à toi doux chevalier, je vois à ta tenue que tu sers comme défenseur de Lut Golhein !

L'homme : Bonjour compagnons, j'ai pour nom Goëlan, et suis à la recherche de mes compagnons Kaëlan et Joëlan.

Mélanus : Je me nomme Mélanus, défenseur de la Lumière tamisée.

Goëlan : Je n'ai pas l'honneur de connaître cet ordre...

Bouc-de-Corne : Ha-Ha ! Mon nom c'est Bouc-de-Corne !

Goëlan : Enchanté. Mais puis-je vous demander ce qui vous amène dans ce secteur ? Il reste des monstres par ici, quoique les démons majeurs aient, paraît-il, disparus.

Mélanus : Il s'agit d'un arrêt... Nous cheminions vers Lut Golhein, afin de nous y couvrir de gloire, quand notre compagne, la célèbre ensorceleuse Hadada désira se baigner dans l'oasis, là derrière le troisième rocher, sous le second arbre près des nénuphars...

Goëlan : Je vois...

Bouc-de-Corne : Ha-Ha !

Tandis qu'ils parlaient, Hadada s'est approchée.

Hadada : Salut à vous sire ! Brreeuh votre oasis ressemble à un marécage. D'ailleurs, j'ai cru voir un monstre parmi les roseaux.

Goëlan : Hélas madame, nous ne sommes pas assez nombreux, ni suffisamment payés, et encore moins motivés.

Mélanus : Eh bien sire, votre guerre contre la magnifique Kurazt vous démoraliserait-elle ?!

Goëlan : A vrai dire sire, aucun combat n'a encore eu lieu... Et nous refuserons d'agir tant que nos femmes se trouveront prisonnières au palais du seigneur Jerhyn !

Mélanus : Racontez nous cela, sire ! Nous manquons singulièrement... De quêtes !

Goëlan : Sous prétexte de les protéger, Jerhyn les a enfermées dans son harem pour en profiter ! Je le sais par le frêre du cousin de ma nièce, Grosëlan, qui garde le palais.

Mélanus : Nous les libérerons !!!

Hadada : Dommage pour vous... Il n'y a pas d'autres femmes en ville ?

Goëlan : Seulement les rogues accompagnant Warriv, et les amazones qui débarquent avec Meshif, hélas leurs moeurs nous déplaisent, car elles désirent diriger le ménage. En ville vie aussi la triste Atma, ainsi que Fara, dont la vertu est indiscutable.

Bouc-de-Corne, insinuant : Ha-Ha ! Pas tout le monde qu'est comme ça ! Hein

Mélanus : Chuttt... Je n'ai pas fait voeu de chasteté de toute façon, alors...

Goëlan : Comment ?

Mélanus : Mon ordre ne l'exige pas.

Hadada : Ahhhh ! Je comprends mieux tes propositions indécentes !

Elle le rosse sous l'oeil amusé de Bouc-de-Corne.

Mélanus : Aie... Je n'ai rien fait de mal ?

Hadada : Nan ! Mais je croyais que tu sacrifiais tes valeurs pour moi, paladin du diable !

Goëlan : Euh... Et les femmes du Nord ami barbare ?

Bouc-de-Corne : Femmes du Nord être comme soleils de cristal. Babayaga jamais taper Bouc-de-Corne.

Hadada : Je ne savais pas que tu étais marié Bouc.

Bouc-de-Corne : Ouais ! Mais Babayaga mangée par ours blanc.

Hadada : Oups

Bouc-de-Corne : Et ours mangé par Bouc-de-Corne.

Mélanus : Par la lumière !

Hadada, méprisante : Déjà que tu ne l'invoques pas souvent, alors si en plus c'est pour jurer... Ah j'ai vu des trucs de nécromanciens dégoûtants, mais là Bouc tu exagères !

Goëlan, avec grande frayeur : Ahhh prenez garde gentils compagnons ! Des vautours !

Un énorme vautour emporte Goëlan dans le ciel.

Bouc-de-Corne : On peut pas les attraper !

Hadada : Mes sorts ne marchent pas !

Mélanus : Sauve qui peut ! Planquons nous sous ce rocher !

Ils se cachent sous un tas de rochers. Il y a très peu de place.

Mélanus : Il faut atteindre Lut Golhein avant la tombée de la nuit mes amis. Bouc-de-Corne, peux-tu leur jeter des pierres ?

Bouc-de-Corne : Ha-Ha ! Pas facile, ici pas de place.

Hadada : Cette... Promiscuité me dérange ! Bouge un peu Mélanus, je sens ton épée qui me pique la jambe.

Mélanus : A la guerre comme à la guerre... Bouc-de-Corne prend de la place tu sais.

Hadada : Il faut que vous sortiez de toute façon, j'ai oublié ma tunique tout à l'heure... Je ne peux pas m'en séparer ; je crois qu'elle se trouvait près d'un cocotier, puis elle a du glisser et je ne l'ai pas retrouvée.

Mélanus : Ah oui, je me souviens...

Hadada, surprise : Comment ça ?

Mélanus : ... En avant Bouc !

Ils sortent, les vautours se précipitent. Heureusement Bouc-de-Corne les bombarde, et leur tord le cou. Ils récupèrent la tunique sans trop de dommages.

Hadada : Merci les amis. Et maintenant en route.

Bouc-de-Corne : Ha-Ha ! ON CHANTE :

Croiser le fer,
Nous on sait faire !

Parler aux riches,
Nous on s'en fiche !

Briser les os,
C'est rigolo !

Hadada : Une autre ?
Bouc-de-Corne : Voici !

On est les Aigles-Furieux,
A peu près tout l'temps joyeux !
Notre humeur est vagabonde
Et nos rimes sont immondes !
C'est bien simple quand ça va pas,
Nous les gars on fonce dans le tas !

Ils entrent à Lut Golhein en chantant...
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